De passage dans la capitale, l'international luxembourgeois formé au Racing Union Lëtzebuerg, Yvandro Borges, nous avait octroyé une interview dans nos locaux. Une façon de revenir sur ses débuts au Borussia Mönchengladbach, sa première sélection avec les Roud Leiwen et les ambitions de la sélection du Grand Duché à l'horizon 2026.

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Au club depuis 2017, comment perçois-tu l’évolution du club ? Depuis 2017, le club a connu une énorme évolution quand on prend tous les aspects de ce que doit être un très bon club. Le Racing coche toutes les cases : effectif de qualité, de plus en plus de joueurs souhaitent nous rejoindre, rythme d’entraînement d’équipe pro, il y a eu l’ajout de salles de musculation, la cellule kiné aussi a progressé, une continuité dans les participations aux coupes d’Europe puisque, sur les 5 dernières années, on y a participé 3 fois... Clairement, le club a énormément évolué. Le seul hic, nos installations d’entraînement sont très vieilles. La ville de Luxembourg n’est pas d’un très grand soutien sur ce point.  Double vainqueur de la coupe avec le Racing, estimes-tu le club capable de jouer un jour le titre ? J’espérais, cet été, en voyant nos recrues et la qualité de notre préparation qu’on soit dans la bagarre pour le titre. Mais être champion, c’est très dur, ça demande énormément de travail, de régularité, un peu de réussite aussi... Aujourd’hui, en mars, on est obligé d’admettre qu’il nous reste encore une marche ou deux avant d’être clairement des prétendants au titre de champion. Meilleur buteur en activité du club, comment juges-tu la jeune génération qui arrive au club (Ahmetxhekaj, Amijekori, Dewalque, Machado...) ? La nouvelle génération est, pour la première fois depuis que je suis au club, dans sa globalité au niveau d’être dans un groupe de top BGL. Au-delà des qualités, je crois qu’ils sont en train de comprendre tout ce qu’il faut mettre en place pour devenir un joueur important dans une bonne équipe de BGL et je leur souhaite un jour d’avoir la chance d’aller goûter au monde professionnel. Avec trois contre-performances contre l’UNK, Rosport et Wiltz, la victoire à la Jeunesse est-elle obligatoire ? La victoire est obligatoire si on veut bien finir la saison, et ce, peu importe la manière.

Au club depuis 2017, comment perçois-tu l’évolution du club ? Depuis 2017, le club a connu une énorme évolution quand on prend tous les aspects de ce que doit être un très bon club. Le Racing coche toutes les cases : effectif de qualité, de plus en plus de joueurs souhaitent nous rejoindre, rythme d’entraînement d’équipe pro, il y a eu l’ajout de salles de musculation, la cellule kiné aussi a progressé, une continuité dans les participations aux coupes d’Europe puisque, sur les 5 dernières années, on y a participé 3 fois... Clairement, le club a énormément évolué. Le seul hic, nos installations d’entraînement sont très vieilles. La ville de Luxembourg n’est pas d’un très grand soutien sur ce point.  Double vainqueur de la coupe avec le Racing, estimes-tu le club capable de jouer un jour le titre ? J’espérais, cet été, en voyant nos recrues et la qualité de notre préparation qu’on soit dans la bagarre pour le titre. Mais être champion, c’est très dur, ça demande énormément de travail, de régularité, un peu de réussite aussi... Aujourd’hui, en mars, on est obligé d’admettre qu’il nous reste encore une marche ou deux avant d’être clairement des prétendants au titre de champion. Meilleur buteur en activité du club, comment juges-tu la jeune génération qui arrive au club (Ahmetxhekaj, Amijekori, Dewalque, Machado...) ? La nouvelle génération est, pour la première fois depuis que je suis au club, dans sa globalité au niveau d’être dans un groupe de top BGL. Au-delà des qualités, je crois qu’ils sont en train de comprendre tout ce qu’il faut mettre en place pour devenir un joueur important dans une bonne équipe de BGL et je leur souhaite un jour d’avoir la chance d’aller goûter au monde professionnel. Avec trois contre-performances contre l’UNK, Rosport et Wiltz, la victoire à la Jeunesse est-elle obligatoire ? La victoire est obligatoire si on veut bien finir la saison, et ce, peu importe la manière.

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